Etre des miliers et des milliers a chercher "leurs ateliers" sur un campus grouillant d'autant de milliers d'étudiants ( pour lesquels cours et examens continuent comme si de rien n'était les empêchant de participer au FSM) n'est pas chose aisée. La forte chaleur (eh oui!) n'y aidant pas non plus.
Le nombre d'Africains migrant vers l'Europe est insignifiant par rapport à ceux qui bougent à l'intérieur du continent noir. Ces migrations -là, à vrai dire des questions de mobilité sont très anciennes, mais semblent prend des caractéristiques "européennes".
Une quinzaine d'Etats sont regroupés dans la CDAO communauté de développement de l'Afrique de l'Ouest. Et ont instauré une politique de libre circulation en leur sein. D'après des témoignages concordants cette pratique est entravée de plus en plus et ce notamment sous la pression de l'Union européenne. Au .ieu de conclure des accords avec la CDAO, Bruxelles préfère aborder chaque Etat indépendamment, jounat de la sorte sa suprématie. Les accords de réadmission appelés pudiquement "de gestion contrôlée" amènent des expulsés de l'UE à être déchargés dans un pays qui n'est pas le leur, pays qui s'emploiera à les expulser vers un autre, etc.
Les évènements de Ceuta et Mellila d'il y a quelques années ont accéléré les choses, l'UE pousse de plus en plus loin le contrôle des frontières extérieures , au point que passer du Sénégal en Mauritanie rend suspect, comme s'il s'agissait d'un potentiel migrant vers l'Europe.A partir de là fleurissent les initiatives dessans papiers, des expulsés le lot d'organismes de soutien. J'allais oublier que l'agence des frontières de l'UE Frontex forme les douaniers marocains, mauritaniens, etc, etc. Dans ce marchandage avec les etats africains pris un à un l'UE lâche des vIsas pour étudiants, footballeurs
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